Du vieux français “desport” signifiant "loisir", en traversant la Manche, il devient "Sport" : la notion d’activité physique se substitue ainsi à celle de loisir.
La pratique d’un sport est bénéfique pour la santé : entretien du système cardio-vasculaire, développement du système musculaire, lutte contre l’obésité et le stress, etc...
Bien que la grande majorité des sportifs soit des amateurs, l’arrivée en masse de l’argent dans le sport attire de plus en plus de jeunes, qui délaissant les études, voient au départ un moyen agréable de gagner beaucoup d’argent et d’acquérir une certaine notoriété.
Cependant si les candidats à la gloire éphémère sont légion, les élus sont rares. Combien de sacrifices, d’heures de travail acharné sont nécessaires pour être repéré et passer du statut amateur à celui de professionnel ?
Et lorsque le premier contrat "pro" est signé, ce n’est que le début des efforts à consentir pour se "faire un nom".
Héros national lors des olympiades de 1896, à Athènes, le grec Spiridon LOUIS couru le marathon en 2h58’50”.
En 2018, à Berlin, le Kenyan Eliud KIPCHOGE signait le record du monde en 2h01’39, soit presque 1 heure de moins en un siècle.
Que dire du record du saut à la perche ? Toujours à Athènes en 1896, l’américain William W. HOYT remportait le concours avec un bond de 3m30. A Belgrade, en 2022, le suédois Armand DUPLANTIS franchissait 6m20 : presque le double !
En cyclisme, lorsqu’à Paris, en 1893, le français Henri DESGRANGES établissait le 1er record de l’heure en 35,325 km/h, il était loin de se douter qu’en 1996, l’anglais Chris BOARDMAN, le porterait à 56,375 km/h.
Réservé au départ à une certaine élite composée exclusivement par les hommes, les femmes, confinées aux tâches ménagères, sont arrivées dans le sport beaucoup plus tard. Néanmoins, bien que la durée de comparaison soit moins longue, on constate, la même évolution au niveau des performances.
A titre d’exemple, la cycliste française Jeannie LONGO, à Mexico, en 1996 porte le record du monde de l’heure à 48,159 km/h, pulvérisant celui établit pour la première fois à Irkoutsk, en 1955 par la russe Tamara NOVIKOVA (38,473 km/h).
On pourrait multiplier les exemples dans tous les sports, masculins ou féminins, individuels ou collectifs, et dans toutes les disciplines.
Cependant on reste songeur lorsqu’on compare l’évolution des performances sur un peu plus d’un siècle...
Pour rester en haut de l’affiche, et bénéficier les avantages qui en découlent (salaires mirobolants, contrats publicitaires, subventions étatiques,... voire reconversion) certains individus n’hésitent pas à recourir à certaines pratiques occultes : le phénomène du dopage est né.
Le premier cas avéré de dopage remonte à 1865 avec des nageurs à Amsterdam.
Un siècle plus tard, le 13 juillet 1967, dans l’ascension du Mont Ventoux, le cycliste britannique Tom SIMPSON s’écroule inconscient. Il sera le premier mort officiel du dopage.
Les conséquences de telles pratiques sur les organismes ne sont pas anodines.
Selon l’O.M.S., en 2015, l’espérance de vie d’un français est de 79,4 ans, et celle d’un américain de 76,9 ans.
Le Dr Jean-Pierre de MONDENARD, après avoir étudier les dossiers médicaux des participants au Tour de France depuis 1947, conclu que le risque de décès cardiaque de cette population avant 45 ans, est cinq fois supérieur à la moyenne !
On pourrait donc penser que le dopage ne concerne qu’une élite composée par les professionnels, mais malheureusement le monde amateur est aussi touché.
Professionnel ou amateur, chacun fait désormais sienne la devise olympique "citius, altius, fortius" (plus vite, plus haut, plus fort) attribuée à tort au Baron de COUBERTIN ; son véritable auteur étant le Père DIDON, prieur du collège d'Arcueil.
Mais, l’organisme sollicité, en permanence à la limite de la rupture, a besoin d’être entretenu, d’être alimenté en nutriments bénéfiques et en produits reconstituants, afin de pouvoir être prêt le jour de la compétition.
Cette préparation s’effectue sur trois niveaux :
- phases antérieures : échauffement et entraînement,
- la compétition,
- phases postérieures : décompression et récupération.
Fort de ces constations, les chercheurs de NATUREBIO ont élaboré une gamme de produits naturels portant sur les trois stades : entraînement, compétition, récupération.
Conforme à la réglementation anti-dopage en vigueur, ils sont destinés à aider le sportif, amateur ou professionnel, à améliorer ses performances, à efforts constants.
Du vieux français “desport” signifiant "loisir", en traversant la Manche, il devient "Sport" : la notion d’activité physique se substitue ainsi à celle de loisir.
La pratique d’un sport est bénéfique pour la santé : entretien du système cardio-vasculaire, développement du système...